Les coûts d’emprunt des bons du Trésor du gouvernement du Canada sur le marché des pensions s’expliquent principalement par la relation entre les deux parties à la transaction. Certaines paires effectuent la plupart de leurs opérations de pension sur des bons du Trésor plutôt que sur des obligations, et à un coût d’emprunt relativement élevé. Nous supposons que ces paires ont établi une relation de service mutuellement avantageuse, où l’une des parties reçoit régulièrement des bons du Trésor, et l’autre, de l’argent comptant à un taux d’intérêt relativement bas.
Après un an, nous examinons ce qui s’est passé sur les marchés canadiens des titres à revenu fixe au début de la crise de la COVID-19 et proposons des questions qui pourraient faire l’objet de futurs travaux de recherche sur les politiques.