Claudia est la directrice au sein de la Section des prévisions depuis 2018. Son travail porte principalement sur la prévision de l’économie canadienne. Auparavant, Claudia a été en fonction dans la division des marchés émergents du Département des Analyses de l’économie internationale de 2008 à 2013.
Claudia est titulaire d'une maîtrise en économique de l'Université Laval.
Cette note résume les principaux résultats des travaux d’analyse du personnel de la Banque du Canada examinant les raisons de la récente faiblesse des exportations canadiennes de biens non énergétiques. Entre 2002 et 2017, le Canada a vu diminuer de façon constante sa part du marché des importations américaines de biens non énergétiques, reflétant principalement la dégradation continue et généralisée de sa compétitivité.
Bien que l’utilité des modèles factoriels soit maintenant reconnue, leur pouvoir de prévision à l’égard de l’économie japonaise a été très peu étudié. Les auteurs se proposent de comparer la qualité des prévisions produites par divers modèles factoriels sur différentes périodes, dont l’une inclut la récente crise financière.
Nous présentons la structure et les caractéristiques d’IMPACT (International Model for Projecting Activity), un modèle semi-structurel de l’économie mondiale utilisé à la Banque du Canada pour l’élaboration de projections et l’analyse de politiques. La constitution des principaux blocs d’IMPACT repose sur le modèle à correction rationnelle des erreurs proposé par Kozicki et Tinsley (1999), qui réussit à concilier contenu théorique et comportement empirique.
Cet article analyse trois scénarios d’ajustement de l’économie mondiale. Dans le scénario « de référence », qui prévoit un assainissement des finances publiques dans les grandes économies avancées, des réformes structurelles génératrices de croissance en Europe et au Japon ainsi qu’une plus grande flexibilité des taux de change et des réformes visant à stimuler l’essor de la […]