Dans cette étude, nous nous intéressons à l’incidence, sur les prêts octroyés aux entreprises par les banques et sur le plan macroéconomique, de la politique d’expansion du crédit menée par la Chine pour stimuler l’économie après la crise. Nous construisons un modèle structurel incorporant des frictions financières qui suppose que le prêt optimal reflète l’arbitrage entre le ratio de levier et la probabilité de défaillance.