Les auteurs analysent des données de la période 2005-2009, qui distinguent de façon unique les catégories d’opérateurs, afin d’étudier les relations qui existent entre les activités des spéculateurs (tels les fonds spéculatifs et les opérateurs sur contrats de swap) et la volatilité et mouvements des prix. En examinant diverses sous-périodes où les prix suivaient des tendances marquées, ils constatent qu’à peu près rien n’indique que les spéculateurs déstabilisent les marchés financiers.