Les auteurs cherchent à établir le degré de covariation à court et à long terme dans les chiffres sectoriels de la production au Canada. Leur cadre d'analyse s'appuie sur un modèle vectoriel à correction d'erreurs assorti de contraintes de codépendance des cycles, qu'ils estiment et testent au moyen de la méthode du maximum de vraisemblance à information complète.