En janvier 2002, des responsables du ministère des Finances et de la Banque du Canada ont sollicité l'avis des distributeurs de titres du gouvernement canadien et des investisseurs sur un certain nombre de questions liées au programme d'emprunt sur le marché intérieur. Cette démarche fait partie intégrante du processus d'élaboration de la stratégie de gestion […]
En janvier 2002, des responsables du ministère des Finances et de la Banque du Canada ont sollicité l'avis des distributeurs de titres du gouvernement canadien et des investisseurs sur un certain nombre de questions liées au programme d'emprunt sur le marché intérieur.
En particulier, le gouverneur a expliqué comment la Banque du Canada vise à favoriser la croissance économique grâce à une politique monétaire centrée sur une cible d'inflation de 2 % à effet symétrique. « Nous accordons la même attention à tout écart important par rapport au taux de 2 %, que cet écart soit positif ou négatif », a déclaré M. Dodge. Pour sa part, la Banque centrale européenne s'est fixé un plafond d'inflation de 2 %, a-t-il fait remarquer.
DiscoursDavid DodgeChambre de Commerce France-Canada et l'association Les Canadiens en Europe (France)Paris (France)
À cette époque, la Banque du Canada et le gouvernement canadien s'étaient rendu compte tous deux des dommages que l'inflation peut causer. Leur prise de conscience les a amenés, au début de 1991, à conclure une entente sur des cibles explicites de maîtrise de l'inflation.
La Banque du Canada a annoncé aujourd'hui qu'elle maintient le taux cible du financement à un jour à 2 %. La fourchette opérationnelle pour ce taux reste la même, et le taux officiel d'escompte demeure à 2 1/4 %. Selon les renseignements obtenus depuis la dernière date d'établissement des taux directeurs, le 15 janvier, le rythme global […]
Plusieurs études permettent de croire que les technologies de l'information et de la communication (TIC) ont contribué de façon importante à la vive accélération de la croissance de la production et de la productivité du travail aux États-Unis durant la deuxième moitié des années 1990.
Dans une allocution prononcée devant la Canadian Society of New York, le gouverneur de la Banque du Canada, M. David Dodge, a déclaré aujourd'hui que le cadre de conduite de la politique monétaire du Canada, fondé sur une cible explicite de maîtrise de l'inflation et un régime de changes flottants, « a grandement facilité le retour du pays sur la voie de la prospérité à long terme ».
Au cours de la dernière décennie, l'économie canadienne s'est radicalement transformée. Le pays affiche maintenant un faible taux d'inflation, sa dette publique et sa dette extérieure sont en régression, et le secteur privé est davantage soucieux des coûts de même que plus productif et efficient grâce à des efforts de restructuration et des investissements dans la nouvelle technologie.
es modèles traditionnels relatifs aux régimes de change font abstraction des effets déstabilisateurs qu'ont les variations marquées et imprévues du taux de change.