9 décembre 2004
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7 décembre 2004
La Banque du Canada maintient le taux cible du financement à un jour à 2 1/2 %
La Banque du Canada a annoncé aujourd'hui qu'elle maintient le taux cible du financement à un jour à 2 1/2 %. La fourchette opérationnelle pour ce taux est inchangée, et le taux officiel d'escompte demeure à 2 3/4 %. -
1er décembre 2004
Appel de candidatures pour le Prix d'excellence de la Banque du Canada en matière de répression de la contrefaçon
À compter d'aujourd'hui, la Banque du Canada recevra des candidatures en vue de la remise de son deuxième Prix d'excellence en matière de répression de la contrefaçon. Ce prix est décerné annuellement à un ou plusieurs agents, employés ou bénévoles d'un organisme canadien d'application de la loi qui ont fait preuve d'un engagement et d'un esprit d'initiative exemplaires dans la lutte contre la contrefaçon des billets de banque ou la prévention de ce délit. -
Trade Credit and Credit Rationing in Canadian Firms
D'après le modèle de Burkart et Ellingsen (2004), les entreprises à faible ou moyenne rentabilité auraient recours au crédit fournisseur pour compenser les effets de rationnement du crédit bancaire. -
An Empirical Analysis of the Canadian Term Structure of Zero-Coupon Interest Rates
Pierre angulaire du calcul pour les titres à revenu fixe, les taux de rendement coupon zéro trouvent un nombre imposant d'applications en finance et en économie. -
The Monetary Origins of Asymmetric Information in International Equity Markets
Les travaux fondés sur l'emploi de données de basse fréquence montrent que les chocs macroéconomiques contribuent peu aux covariations des marchés boursiers internationaux. -
Une approche éclectique d'estimation du PIB potentiel pour le Royaume-Uni
Dans cette étude, l'auteur présente les principaux résultats de l'application d'une nouvelle méthode d'estimation du PIB potentiel britannique. -
Modelling the Evolution of Credit Spreads in the United States
Partant du modèle de forme réduite de Jarrow et Turnbull (1995), les auteurs représentent l'évolution de la structure par terme des taux d'intérêt aux États-Unis selon la catégorie de notation et le secteur d'activité. -
24 novembre 2004
Déclaration préliminaire devant le Comité sénatorial permanent des banques et du commerce
L'économie canadienne a progressé plus rapidement au premier semestre de l'année qu'on ne s'y attendait, principalement grâce à l'essor vigoureux des exportations. Elle fonctionne maintenant près des limites de sa capacité et continue de s'ajuster à l'évolution de la conjoncture internationale. -
24 novembre 2004
Prix des actifs et politique monétaire : une perspective canadienne
L'article traite de la mesure dans laquelle la politique monétaire canadienne doit réagir aux bulles d'actifs. La principale conclusion des auteurs est que le maintien de la hausse des prix à la consommation à des niveaux bas et stables constitue la meilleure contribution que les autorités monétaires puissent apporter à la promotion de la stabilité économique et financière, même en présence de bulles. Dans des circonstances extrêmes — soit lorsqu'une bulle a été clairement décelée et que son éclatement est de nature à occasionner des coûts appréciables pour l'économie —, les autorités monétaires pourraient être mieux en mesure d'atteindre cet objectif en intervenant à contre-courant du marché, même au prix d'écarts temporaires du taux d'inflation par rapport à la cible. Une telle stratégie pourrait atténuer le risque qu'une chute brutale des prix des actifs entraîne une récession et fasse glisser l'inflation, à plus long terme, bien en deçà du taux visé. Les cas où cette stratégie est applicable sont rares, car les économistes sont loin de pouvoir établir de manière systématique et fiable dans quelles conditions le fait d'agir à contre-courant du marché risque davantage de nuire à l'économie que de l'aider. La politique monétaire canadienne devrait se préoccuper davantage des bulles immobilières que des bulles boursières, car les prix de l'immobilier sont plus susceptibles d'être poussés à la hausse par un assouplissement excessif des conditions du crédit intérieur que ceux des actions, qui sont en grande partie déterminés sur les marchés mondiaux.