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Expropriation Risk and FDI in Developing Countries: Does Return of Capital Dominate Return on Capital?
Les effets signalés antérieurement qu’exercent la qualité des institutions et les risques politiques sur l’investissement direct étranger (IDE) sont contrastés et, par conséquent, difficiles à interpréter. Nous présentons des données empiriques qui font ressortir une caractérisation intuitive statistiquement solide. -
Considerations for the allocation of non-default losses by financial market infrastructures
Les pertes que subissent les infrastructures de marchés financiers (IMF) en dehors des cas de défaillance suscitent une attention grandissante pour deux raisons, soit leur incidence potentielle sur les IMF en tant que telles et leurs participants, et l’absence d’une approche commune pour les gérer. Une grande question se pose : qui devrait assumer ces pertes? -
14 juillet 2005
Mise à jour du Rapport sur la politique monétaire – Juillet 2005
La mise à jour concernant l’évolution des économies mondiale et canadienne exposée dans le présent Rapport fait ressortir trois facteurs. -
International Spillovers of Large-Scale Asset Purchases
Dans cette étude, les auteurs évaluent les effets de débordement internationaux des achats massifs d’actifs en s’appuyant sur un modèle d’équilibre général dynamique et stochastique à deux pays intégrant des rigidités réelles et nominales et les effets liés aux rééquilibrages des portefeuilles. -
16 mai 2022
Le Groupe de travail sur le taux de référence complémentaire pour le marché canadien (TARCOM) salue la décision de RBSL d’abandonner la publication du taux CDOR après le 28 juin 2024
Aujourd’hui, Refinitiv Benchmark Services (UK) Limited (RBSL), l’administrateur réglementé du taux CDOR, a annoncé l’abandon de la publication du taux CDOR après le 28 juin 2024. -
14 août 2000
Analyse des niveaux actuels des cours en bourse
L'ascension des bourses nord-américaines en 1999 et au début de 2000 a amené les observateurs à s'interroger sur les hypothèses susceptibles de justifier le maintien de niveaux aussi élevés des cours. Dans cet article, les techniques usuelles d'évaluation des cours sont appliquées aux marchés boursiers du Canada et des États-Unis. Dans la méthode des taux de rendement comparatifs, les taux d'intérêt réels (plutôt que nominaux) sont considérés comme de meilleurs points de comparaison pour étudier le rendement lié aux indices boursiers. De façon générale, les écarts entre les taux d'intérêt réels et les rendements boursiers se sont creusés au cours des deux dernières années. Le modèle d'évaluation fondé sur l'actualisation des dividendes à recevoir permet de rattacher la prime de risque sur les actions à la croissance anticipée des dividendes. Il donne à penser que, pour que les cours en bourse (mesurés à la fin de février 2000) se maintiennent à leurs niveaux élevés, il faudrait que les dividendes croissent rapidement ou que les primes de risque sur les actions demeurent anormalement faibles. L'auteur note la hausse fulgurante des cours dans le compartiment des valeurs technologiques pendant l'année 1999 (Graphique4). Il analyse ensuite les valorisations boursières une fois ce compartiment exclu du marché canadien. Lorsqu'il utilise pour cela la méthode des taux de rendement comparatifs, les écarts de rendement obtenus sont un peu moins élevés; quand il a recours au modèle d'évaluation fondé sur l'actualisation des dividendes, il n'est pas nécessaire de postuler une croissance future des dividendes aussi rapide ni une prime de risque aussi faible pour justifier le niveau des cours actuels. L'article met en lumière deux effets de la « nouvelle économie » sur les marchés boursiers. Le premier est le fléchissement du ratio dividendes/cours, du fait que les sociétés de haute technologie réinvestissent en général le gros de leurs bénéfices et versent peu de dividendes. Le second a trait à la possibilité d'un relèvement du taux d'accroissement de la productivité, qui accréditerait l'hypothèse d'une croissance des bénéfices supérieure à la progression observée dans le passé. Plusieurs hypothèses sont formulées pour expliquer la diminution des primes de risque sur les actions. Alors que la volatilité à court terme a incontestablement augmenté sur le marché boursier ces dernières années, il se peut que le bas taux d'inflation et la meilleure tenue de l'économie, combinés à l'évolution démographique et aux préférences des investisseurs, aient contribué à faire baisser la prime de risque exigée par ces derniers. Un scénario fondé sur une progression rapide des dividendes à moyen terme puis un retour à plus long terme aux taux de croissance observés antérieurement permet d'expliquer dans une certaine mesure les cours élevés observés actuellement, mais il présuppose des hypothèses qui rompent avec l'évolution passée. -
3 avril 2023
Enquête sur les perspectives des entreprises – Premier trimestre de 2023
Selon les résultats de l’enquête sur les perspectives des entreprises du premier trimestre de 2023, et ceux des enquêtes Le Pouls des entrepreneurs de janvier à mars 2023, les perspectives de ventes sont modérées et les intentions d’accroissement des dépenses en immobilisations sont modestes. Le marché du travail demeure tendu, mais les pressions, bien que toujours élevées, se sont atténuées. -
Dynamic Factor Analysis for Measuring Money
La mesure des agrégats monétaires pose de sérieuses difficultés en raison des innovations que connaît le secteur financier. Dans leur étude, les auteurs décrivent les travaux préliminaires d'élaboration d'une nouvelle mesure de la monnaie qui permettrait de mieux isoler, et donc d'éliminer, l'incidence de ces innovations. -
Government Spending Multipliers Under the Zero Lower Bound: Evidence from Japan
À l’aide de données détaillées sur les prévisions de dépenses publiques au Japon, nous présentons des éléments nouveaux sur les effets des variations non anticipées des dépenses publiques lorsque le taux d’intérêt nominal avoisine la valeur plancher.