31 août 2016
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27 mars 2002
La Banque du Canada lance le nouveau billet de 5 dollars
Dévoilé lors d'une cérémonie spéciale à Montréal, le billet de 5 dollars est la plus récente coupure de la nouvelle série intitulée L'épopée canadienne, qui a été inaugurée en janvier 2001 avec le lancement du billet de 10 dollars. Le nouveau billet de 5 dollars est doté d'éléments de sécurité sophistiqués qui renforcent la fiabilité des billets de banque canadiens. Ayant pour thème les enfants au jeu, ce billet est illustré d'images d'enfants en train de s'amuser en toboggan, d'apprendre à patiner et de jouer au hockey. -
1er février 2024
Enquête sur les modes de paiement
La Banque du Canada sonde les consommateurs canadiens afin de mieux comprendre comment ils paient les biens et services qu’ils achètent. -
Considerations for the allocation of non-default losses by financial market infrastructures
Les pertes que subissent les infrastructures de marchés financiers (IMF) en dehors des cas de défaillance suscitent une attention grandissante pour deux raisons, soit leur incidence potentielle sur les IMF en tant que telles et leurs participants, et l’absence d’une approche commune pour les gérer. Une grande question se pose : qui devrait assumer ces pertes? -
Indicator Models of Core Inflation for Canada
Quand les estimations de la marge de capacités inutilisées dans l'économie sont entachées d'incertitude, l'examen d'une gamme d'indicateurs de l'inflation peut aider à évaluer les risques de hausse ou de baisse de l'inflation dans l'avenir. L'auteur de l'étude met à l'essai toute une série de variables observables — les prix des produits de base, des indicateurs […] -
Expropriation Risk and FDI in Developing Countries: Does Return of Capital Dominate Return on Capital?
Les effets signalés antérieurement qu’exercent la qualité des institutions et les risques politiques sur l’investissement direct étranger (IDE) sont contrastés et, par conséquent, difficiles à interpréter. Nous présentons des données empiriques qui font ressortir une caractérisation intuitive statistiquement solide. -
14 août 2000
Analyse des niveaux actuels des cours en bourse
L'ascension des bourses nord-américaines en 1999 et au début de 2000 a amené les observateurs à s'interroger sur les hypothèses susceptibles de justifier le maintien de niveaux aussi élevés des cours. Dans cet article, les techniques usuelles d'évaluation des cours sont appliquées aux marchés boursiers du Canada et des États-Unis. Dans la méthode des taux de rendement comparatifs, les taux d'intérêt réels (plutôt que nominaux) sont considérés comme de meilleurs points de comparaison pour étudier le rendement lié aux indices boursiers. De façon générale, les écarts entre les taux d'intérêt réels et les rendements boursiers se sont creusés au cours des deux dernières années. Le modèle d'évaluation fondé sur l'actualisation des dividendes à recevoir permet de rattacher la prime de risque sur les actions à la croissance anticipée des dividendes. Il donne à penser que, pour que les cours en bourse (mesurés à la fin de février 2000) se maintiennent à leurs niveaux élevés, il faudrait que les dividendes croissent rapidement ou que les primes de risque sur les actions demeurent anormalement faibles. L'auteur note la hausse fulgurante des cours dans le compartiment des valeurs technologiques pendant l'année 1999 (Graphique4). Il analyse ensuite les valorisations boursières une fois ce compartiment exclu du marché canadien. Lorsqu'il utilise pour cela la méthode des taux de rendement comparatifs, les écarts de rendement obtenus sont un peu moins élevés; quand il a recours au modèle d'évaluation fondé sur l'actualisation des dividendes, il n'est pas nécessaire de postuler une croissance future des dividendes aussi rapide ni une prime de risque aussi faible pour justifier le niveau des cours actuels. L'article met en lumière deux effets de la « nouvelle économie » sur les marchés boursiers. Le premier est le fléchissement du ratio dividendes/cours, du fait que les sociétés de haute technologie réinvestissent en général le gros de leurs bénéfices et versent peu de dividendes. Le second a trait à la possibilité d'un relèvement du taux d'accroissement de la productivité, qui accréditerait l'hypothèse d'une croissance des bénéfices supérieure à la progression observée dans le passé. Plusieurs hypothèses sont formulées pour expliquer la diminution des primes de risque sur les actions. Alors que la volatilité à court terme a incontestablement augmenté sur le marché boursier ces dernières années, il se peut que le bas taux d'inflation et la meilleure tenue de l'économie, combinés à l'évolution démographique et aux préférences des investisseurs, aient contribué à faire baisser la prime de risque exigée par ces derniers. Un scénario fondé sur une progression rapide des dividendes à moyen terme puis un retour à plus long terme aux taux de croissance observés antérieurement permet d'expliquer dans une certaine mesure les cours élevés observés actuellement, mais il présuppose des hypothèses qui rompent avec l'évolution passée. -
Centralizing Over-the-Counter Markets?
Y aurait-il des gains de bien-être si les opérations sur titres à revenu fixe actuellement réalisées sur le marché hors cote (échanges bilatéraux) étaient centralisées sur une plateforme électronique? Des microdonnées sur le marché secondaire des titres d’emprunt du gouvernement du Canada nous aident à répondre à cette question. -
14 juillet 2005
Mise à jour du Rapport sur la politique monétaire – Juillet 2005
La mise à jour concernant l’évolution des économies mondiale et canadienne exposée dans le présent Rapport fait ressortir trois facteurs. -
23 avril 2018
Analyse du contexte
L’établissement de nos priorités organisationnelles exige que nous tenions compte à la fois des facteurs qui influent sur l’environnement externe et des réalités internes propres à la Banque. Cet examen nous permet de repérer les possibilités nouvelles, qui sont autant d’occasions à saisir pour atteindre nos objectifs.