I3 - Programmes sociaux et pauvreté
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Income Inequality in Canada
Les données montrent que les inégalités de revenus au Canada se sont accrues fortement dans les années 1980 et la première moitié des années 1990, mais qu’elles sont demeurées relativement stables au cours des 25 dernières années. Elles se sont surtout creusées au détriment des personnes à faible revenu et des jeunes, alors que les personnes âgées ont vu leur revenu de retraite s’accroître. -
Labor Demand Response to Labor Supply Incentives: Lessons from the German Mini-Job Reform
Comment les entreprises changent-elles leurs décisions en matière d’emploi quand de nouveaux avantages fiscaux sont octroyés à destination des travailleurs à faible revenu? D’après des données liées sur les employeurs et leurs employés en Allemagne, certaines entreprises augmentent globalement leurs effectifs, tandis que d’autres remplacent les emplois fortement rémunérés par des emplois faiblement rémunérés. -
Identification of Random Resource Shares in Collective Households Without Preference Similarity Restrictions
La part de ressources, au sens de fraction de la dépense totale d’un ménage qui se rapporte à chaque membre du foyer, joue un rôle important dans l’évaluation du bien-être matériel des personnes, de leur inégalité de situation et de leur niveau de pauvreté. Il est difficile d’estimer cette part, car la consommation est généralement mesurée au niveau du ménage. -
Sheltered Income: Estimating Income Under-Reporting in Canada, 1998 and 2004
Les auteurs utilisent des données de l’Enquête sur la sécurité financière et de l’Enquête sur les dépenses des ménages pour mesurer l’incidence et l’ampleur de la sousdéclaration des revenus au Canada en 1998 et en 2004. Ils estiment que la proportion des ménages déclarant des revenus inférieurs à ceux qu’ils perçoivent réellement se situe, en gros, entre 35 et 50 % pour ces deux années. -
Does Financial Integration Increase Welfare? Evidence from International Household-Level Data
Malgré la multitude de travaux empiriques consacrés à l’incidence de l’intégration financière sur l’économie, il reste difficile de confirmer les gains de bien-être considérables censés provenir du partage du risque de consommation. Tout en gardant l’approche multipays d’autres recherches, cette étude rend en outre explicitement compte de l’hétérogénéité des ménages et assouplit ainsi trois hypothèses restrictives habituellement retenues.