Les auteurs analysent les implications pour le bien-être de règles simples de politique monétaire, en estimant un modèle de petite économie ouverte pour le Canada qui compte deux secteurs (biens échangeables et non échangeables) et où les prix et les salaires sont rigides.
Document de travail du personnel 2005-43John Sargent
L'auteur présente une vue d'ensemble du Programme de lutte contre l'inflation appliqué de 1975 à 1978, dans un document d'information destiné aux participants à un séminaire organisé par la Banque du Canada à l'occasion du 30e anniversaire du Programme.
L'indice des prix à la consommation (IPC) est la mesure de l'inflation la plus couramment utilisée au Canada. Toutefois, à titre d'indicateur des variations du coût de la vie, l'IPC est sujet à divers types de biais de mesure.
Les auteurs élaborent et estiment un modèle d'équilibre général de la structure des taux d'intérêt canadiens, dans lequel la dynamique des principales variables macroéconomiques est représentée sous une forme vectorielle autorégressive et reliée à celle de la structure des taux.
L'auteur explique en termes non techniques le rôle du taux de change dans la politique monétaire canadienne, qui est axée sur la poursuite d'une cible d'inflation.
À l'aide d'un nouveau modèle keynésien hybride, Jensen (2002) et Walsh (2003) montrent, dans deux études récentes, qu'un régime prenant pour cible soit le taux de croissance du revenu nominal soit la variation de l'écart de production permet de reproduire la solution obtenue avec une règle d'engagement et de réduire ainsi le biais de stabilisation.
Les auteurs élaborent trois nouveaux indices des conditions financières au Canada. Le premier est fondé sur la courbe IS, le second sur l'établissement de profils de réaction généralisés et le troisième sur l'analyse factorielle.