E22 - Capital; investissement; capacité de production
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Disaggregating Household Sensitivity to Monetary Policy by Expenditure Category
Comme la Banque du Canada a commencé à procéder à des relèvements du taux directeur pour réduire la détente monétaire en place, il importera de surveiller la transmission de ces changements de la politique monétaire. Les sous-composantes de la consommation et du logement risquent de réagir différemment à un resserrement de la politique monétaire, tant pour ce qui est des effets globaux que du moment où ces réactions se manifesteront. -
Characterizing Canada’s Export Sector by Industry: A Supply-Side Perspective
Cette note examine l’évolution des facteurs de long terme liés à l’offre dans les secteurs non énergétiques de l’économie canadienne ainsi que ses incidences sur les exportations. Entre 2002 et 2016, le stock de capital et le facteur travail global ont baissé dans de nombreux secteurs exportateurs de biens non énergétiques. Cette évolution des facteurs de production a probablement contribué à la baisse des exportations hors énergie dans environ la moitié des secteurs de biens analysés. -
Production potentielle au Canada : réévaluation de 2018
La présente note résume la réévaluation de la production potentielle à laquelle procède la Banque du Canada et dont les résultats ont été publiés dans le Rapport sur la politique monétaire d’avril 2018. Globalement, la trajectoire de la croissance de la production potentielle devrait demeurer stable, à 1,8 % entre 2018 et 2020 et à 1,9 % en 2021. -
Credit Crunches from Occasionally Binding Bank Borrowing Constraints
Nous présentons un modèle dans lequel les banques et les autres intermédiaires financiers font parfois face à des conditions d’emprunt contraignantes et à des coûts d’émission d’actions. Près de l’état stationnaire, ces intermédiaires peuvent obtenir du financement par émission d’actions à coût nul, au moyen des bénéfices non répartis. -
Alternative Scenario to the October 2017 MPR Base-Case Projection: Higher Potential Growth
Nous construisons un scénario de rechange dans lequel le facteur travail tendanciel et les investissements des entreprises sont supérieurs à ce qui est prévu dans le scénario de référence du Rapport sur la politique monétaire de la Banque du Canada. -
A Structural Interpretation of the Recent Weakness in Business Investment
La croissance de l’investissement des entreprises a fortement ralenti dans les économies avancées depuis 2012 : elle se situe en moyenne à tout près de 2 %, contre 4 % avant la crise. Plusieurs études récentes ont expliqué la faiblesse de l’investissement des entreprises en attribuant un rôle prépondérant aux facteurs cycliques, notamment l’incidence d’une demande globale modérée et, à un moindre degré, le rôle joué par l’incertitude accrue et le resserrement des conditions de financement. -
11 mai 2017
Comment expliquer l’atonie de l’investissement des entreprises à l’échelle mondiale? Éléments de réponse tirés des économies avancées
Plusieurs facteurs qui influencent les investissements des entreprises peuvent offrir une explication à l’atonie de l’investissement observée dans les économies avancées depuis la crise financière mondiale, et plus particulièrement depuis 2014. La lenteur du rythme de croissance de la demande globale ne peut rendre entièrement compte de la faiblesse récente des dépenses d’investissement, qui apparaît essentiellement liée à l’effondrement des prix internationaux des matières premières et à la montée de l’incertitude économique. À terme, le taux de progression des investissements des entreprises demeurera vraisemblablement inférieur à ce qu’il était avant la crise, pour une bonne part à cause de facteurs structurels comme le vieillissement démographique. -
April 2017 Annual Reassessment of Potential Output Growth in Canada
La présente note résume la réévaluation de la croissance de la production potentielle à laquelle procède annuellement la Banque du Canada et dont les résultats sont publiés dans le Rapport sur la politique monétaire d’avril 2017. Le taux de croissance de la production potentielle devrait passer de 1,3 % en 2017 à 1,6 % d’ici 2020. -
Firm-Specific Shocks and Aggregate Fluctuations
Pour comprendre ce qui entraîne les fluctuations agrégées, de nombreux modèles macroéconomiques se tournent vers les chocs agrégées sans tenir compte de la contribution des chocs propres à l’entreprise. De récentes recherches menées par d’autres pays développés ont, toutefois, permis de constater que les fluctuations agrégées sont en partie attribuables aux chocs encaissés par les grandes entreprises.
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