E21 - Consommation; épargne; richesse
-
-
Household Heterogeneity and the Performance of Monetary Policy Frameworks
La hausse des inégalités de consommation et la trajectoire à la baisse des taux d’intérêt sont deux tendances importantes de l’économie à l’heure actuelle. Mais les implications possibles de ces tendances – et leurs interactions – selon le cadre de politique monétaire adopté sont mal comprises. Nous étudions le classement de divers cadres qui tiennent compte de ces tendances. -
The COVID-19 Consumption Game-Changer: Evidence from a Large-Scale Multi-Country Survey
Une enquête de consommation est conduite dans plusieurs pays pour déterminer pourquoi et dans quelle mesure les ménages ont diminué leur consommation dans cinq secteurs clés après la levée des restrictions liées à la COVID-19 en Europe, en juillet 2020. Au-delà du risque d’infection et des motifs d’épargne de précaution, les ménages déclarent également que certains biens et services qu’ils ont cessé de consommer ne leur manquent pas, ce qui peut être révélateur d’une évolution des préférences et de changements structurels dans l’économie post-pandémie. -
Optimal Monetary Policy According to HANK
Nous étudions la politique monétaire optimale dans un modèle néokeynésien à agents hétérogènes résoluble analytiquement. Dans ce modèle, la banque centrale est incitée à réduire les inégalités de consommation, en plus de maintenir l’activité économique à son niveau optimal et l’inflation stable. -
More Money for Some: The Redistributive Effects of Open Market Operations
J’utilise un modèle théorique de recherche pour étudier les répercussions des opérations d’open market sur la conduite de la politique monétaire et les implications de ces dernières sur différents ménages selon leur richesse. Dans le modèle, les ménages ont des portefeuilles de tailles et de compositions différentes, ce qui signifie qu’ils peuvent être touchés de manière inégale par les opérations d’open market. -
Payment Habits During COVID-19: Evidence from High-Frequency Transaction Data
Nous examinons la façon dont les consommateurs ont modifié leurs habitudes de paiement durant la pandémie de COVID-19. Il semble qu’ils effectuent des opérations moins nombreuses, mais d’un montant plus élevé, sont moins portés à payer en liquide aux points de vente, et effectuent davantage de retraits aux guichets de leur institution financière qu’aux guichets d’autres enseignes. -
Monetary Policy and the Persistent Aggregate Effects of Wealth Redistribution
En présence d’une dette nominale et d’une offre de travail hétérogène, la politique monétaire crée un arbitrage : une mesure de relance économique à court terme mène à une production durablement réduite à moyen terme. Le ciblage du niveau des prix atténue cet arbitrage et réussit mieux à stabiliser l’inflation et la production que le ciblage de l’inflation. -
Consumer Credit with Over-optimistic Borrowers
Lorsque les prêteurs ne sont pas en mesure de savoir d’emblée si un emprunteur a des biais cognitifs ou s’il est rationnel, ils utilisent un système de pointage pour déterminer avec quelle probabilité son comportement ira dans un sens ou dans l’autre. Cela entraîne un regroupement partiel des emprunteurs et signifie que les emprunteurs rationnels financent les coûts d’emprunt de ceux ayant des biais. Cette approche réduit, par le fait même, l’efficacité des politiques réglementaires qui ciblent les erreurs commises par les emprunteurs biaisés. -
The Heterogeneous Effects of COVID-19 on Canadian Household Consumption, Debt and Savings
Les répercussions de la pandémie de COVID-19 sur la dette et sur l’épargne non planifiée des ménages canadiens varient selon le revenu : ceux à faible revenu et à revenu élevé ont accumulé de l’épargne non planifiée, alors que ceux à revenu moyen sont plus susceptibles de s’être endettés davantage. -
L’extraction de liquidités de l’avoir propre foncier et les dépenses des ménages au Canada
Grâce à des microdonnées étoffées, nous mesurons l’extraction de liquidités de l’avoir propre foncier au Canada et suivons son évolution au fil du temps. Nous constatons que cette pratique est en hausse depuis quelques années et semble avoir influé sensiblement sur la dynamique des dépenses des ménages.