Les auteurs comparent l'évolution respective de l'efficience des principales banques canadiennes et de banques commerciales américaines au cours des 20 dernières années.
À l'aide de données sectorielles se rapportant à 22 branches industrielles canadiennes, les auteurs étudient le lien entre l'évolution du taux de change et l'investissement de 1981 à 1997.
Cette étude comporte deux volets. Tout d'abord, l'auteur y examine les propriétés théoriques d'une fonction de production à élasticité de substitution constante, souvent appelée CES dans la littérature économique, et il en déduit les implications pour les propriétés d'un modèle macroéconomique structurel.
Les auteurs mesurent les économies d'échelle et le rapport efficacité-coût dans le temps des six principales banques canadiennes. Pour ce faire, à partir d'un ensemble unique de données longitudinales allant de 1983 à 2003, ils estiment des fonctions de coût regroupées, de type translog, à partir desquelles ils établissent des indices d'efficience relative et d'économie d'échelle.
À partir de données d'entreprises industrielles françaises sur la période 1989-2001, nous estimons une fonction de production « flexible », de type Translog, tenant compte des volumes et des durées d'utilisation des facteurs.
Si plusieurs travaux ont montré l'importance des degrés d'utilisation des facteurs dans l'analyse économique, l'influence des durées d'utilisation des facteurs dans la combinaison productive reste néanmoins largement méconnue, particulièrement en ce qui concerne la durée d'utilisation des équipements.
Document de travail du personnel 1999-9Maral Kichian
Comme l'écart de production estimatif est un indicateur de l'intensité des pressions inflationnistes au sein de l'économie, l'auteure de l'étude cherche à évaluer si le recours aux modèles espace d'états pour estimer la production potentielle et, partant, l'écart de production peut être d'une quelconque utilité dans la mise en oeuvre de la politique monétaire. Le […]
Les auteurs de l'étude se penchent sur les méthodes d'estimation de la production potentielle et de l'écart de production récemment étudiées à la Banque du Canada, passent en revue les hypothèses et les techniques économétriques sur lesquelles repose chacune d'elles et fournissent des exemples d'applications aux données canadiennes.
Le taux de croissance de la productivité tant de l'ensemble des facteurs que du travail au Canada s'est ralenti substantiellement au cours de la période 1975-1983. La présente étude vise à examiner ce phénomène et à passer en revue certaines hypothèses qui ont été avancées ces derniers temps pour l'expliquer. En premier lieu, nous examinons […]