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Downward Nominal Wage Rigidity Meets the Zero Lower Bound
Nous intégrons la rigidité à la baisse des salaires nominaux à un modèle de type nouveau Keynésien standard à prix et salaires rigides dans lequel la borne du zéro des taux d’intérêt constitue parfois une contrainte. Nous constatons que la rigidité des salaires non seulement réduit la fréquence des épisodes où les taux d’intérêt nominaux atteignent la borne du zéro, mais atténue la gravité des récessions concomitantes. -
Constrained Efficiency with Adverse Selection and Directed Search
Une allocation efficace opérée sous contrainte est caractérisée dans un modèle de sélection adverse et de prospection ciblée (Guerrieri, Shimer et Wright, 2010). Cette allocation est définie comme une allocation maximisant le bien-être (l’utilité espérée de tous les agents) en présence de frictions. -
Strategic Complementarities and Money Market Fund Liquidity Management
Après la crise financière, les autorités de réglementation ont porté leur attention sur la manière dont les fonds communs de placement gèrent la liquidité, en se demandant tout particulièrement si ces entités disposent d’assez de liquidités pour faire face à une éventuelle panique des investisseurs. -
Markov‐Switching Three‐Pass Regression Filter
Nous introduisons une nouvelle méthode d’estimation des modèles factoriels de large dimension avec changements de régimes en élargissant le filtre de régression linéaire à trois passages afin d’intégrer des paramètres qui peuvent varier en fonction de processus de Markov. -
Accounting for Real Exchange Rates Using Micro‐Data
Selon la dichotomie classique, les biens non échangeables du panier de l’indice des prix à la consommation (IPC) expliquent intégralement la variance au sein des séries chronologiques du taux de change réel agrégé, car les biens échangeables suivent la loi du prix unique. Engel (1999) soutient à l’inverse que ce sont les biens échangeables qui expliquent toute la variance. -
18 avril 2017
Il faut épouser l’automatisation tout en gérant ses répercussions, soutient la première sous-gouverneure Wilkins
L’automatisation, l’intelligence artificielle et d’autres innovations auront des effets bénéfiques pour l’économie canadienne, car elles rehausseront la productivité et le niveau de vie. Toutefois, elles pourraient également produire, sur le marché du travail et la répartition des revenus, des effets moins souhaitables qu’il faudra gérer, a déclaré aujourd’hui la première sous-gouverneure de la Banque du Canada, Mme Carolyn A. Wilkins. -
18 avril 2017
La faute aux machines?
La première sous-gouverneure, Carolyn A. Wilkins, traite de l’automatisation et des effets qu’elle pourrait avoir sur la productivité et la politique monétaire de la Banque. -
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13 avril 2017
Déclaration préliminaire devant le Comité sénatorial permanent des banques et du commerce
Monsieur le Président, distingués membres du Comité, bonjour. La première sous-gouverneure Wilkins et moi sommes heureux d’être de retour devant vous pour présenter le Rapport sur la politique monétaire (RPM) que la Banque du Canada a publié hier. Au moment de notre dernier témoignage en octobre, j’ai traité des facteurs qui nous avaient amenés à […]