Le gouverneur Tiff Macklem revient sur les leçons tirées de la pandémie et de ses conséquences, et explique comment la Banque se prépare pour les défis à venir.
Dans son discours de fin d’année, le gouverneur Tiff Macklem parle des leçons que la Banque du Canada a tirées de la pandémie et explique comment elle se prépare pour un avenir plus incertain que d’ordinaire.
Dans son premier discours en tant que sous-gouverneur, Rhys Mendes explique pourquoi les taux d’intérêt plus élevés étaient nécessaires pour ramener l’inflation à la cible de 2 %, et pourquoi on veut qu’elle y reste.
Le sous-gouverneur Rhys Mendes explique comment la politique monétaire a agi pour ramener l’inflation à la cible de 2 % et pourquoi on veut qu’elle y reste.
Le gouverneur Tiff Macklem explique comment l’économie continuera à s’adapter aux taux d’intérêt plus élevés en 2024, et parle de ce que les Canadiennes et Canadiens peuvent attendre de la Banque du Canada.
Dans son discours de fin d’année, le gouverneur Tiff Macklem explique comment les leçons tirées de la récente volatilité économique amènent la Banque du Canada à repenser la façon dont elle effectue ses analyses et communique avec le public.
Au lendemain de la décision de la Banque de maintenir le taux directeur à 5 %, le gouverneur Tiff Macklem parle de certains des facteurs clés qui ont motivé cette décision. Il explique aussi pourquoi la cible d’inflation de 2 % favorise la stabilité de l’économie et la prospérité des ménages et des entreprises.
Le gouverneur Tiff Macklem parle de la toute récente décision de la Banque du Canada sur les taux d’intérêt et présente la trajectoire de l’inflation au-delà des chiffres publiés. Il explique également pourquoi la cible d’inflation de la Banque de 2 % est appropriée.
Dans un discours prononcé au lendemain de l’augmentation des taux d’intérêt, le sous-gouverneur récapitule les points considérés par le Conseil de direction dans sa décision. Il indique également en quoi les taux d’intérêt à long terme pourraient rester plus élevés qu’ils ne l’étaient avant la pandémie de COVID-19.