Nous analysons d’éventuels contrats de prêt étudiant assortis d’un moratoire qui allégeraient le fardeau de la dette d’études des ménages américains en préservant le revenu disponible des emprunteurs tôt dans leur vie. Notre modèle montre que ces contrats, comparativement aux programmes existants, généreraient des gains de bien-être substantiels, semblables à ceux des programmes proposés par l’administration Biden, mais à un coût sensiblement moindre.