Nous utilisons le modèle TOTEM (Terms of Trade Economic Model) pour effectuer des simulations basées sur l’offre et la demande. Dans les deux cas, les simulations font état de faibles exportations canadiennes hors produits de base par rapport à l’activité étrangère, ce qui cadre avec les données récentes.
Dans notre analyse, nous menons des simulations au moyen du modèle de projection de la Banque du Canada, TOTEM (Terms-of-Trade Economic Model), pour étudier une gamme élargie d’outils de politique monétaire visant à soutenir l’économie dans le contexte de la crise née de la pandémie.
Résoudre des modèles macroéconomiques n’est pas une mince tâche. Une difficulté tient à la contrainte occasionnellement active de la valeur plancher des taux d’intérêt nominaux. Cette étude analyse diverses méthodes de résolution des modèles qui intègrent cette caractéristique.
Nous proposons un modèle macroéconomique dans lequel l’antisélection dans les investissements amplifie les fluctuations macroéconomiques, ce qui cadre avec le rôle prépondérant qu’ont joué l’étranglement du crédit et l’effondrement du marché des titres adossés à des actifs durant la crise financière.
Dans cette note, nous étudions une fonction d’utilité qui dépend du temps de loisir et de la consommation, en tenant compte de la persistance des habitudes, et dont la forme a) est compatible avec une croissance équilibrée à long terme, b) permet d’atteindre les nombres d’heures travaillées constatés dans les données à l’état stationnaire et c) est conforme aux données microéconométriques relatives à l’élasticité de substitution intertemporelle et à l’élasticité de l’offre de travail de Frisch.
Nous présentons un modèle dans lequel les banques et les autres intermédiaires financiers font parfois face à des conditions d’emprunt contraignantes et à des coûts d’émission d’actions. Près de l’état stationnaire, ces intermédiaires peuvent obtenir du financement par émission d’actions à coût nul, au moyen des bénéfices non répartis.