La forte augmentation de la richesse au cours de la deuxième moitié des années 1990 a généré l'équivalent d'un certain montant d'épargne et, du même coup, un glissement important du taux d'épargne des ménages. Dans la présente étude, l'auteur tente d'expliquer cette baisse importante du taux d'épargne observée depuis 1995.