Dans notre étude, nous modélisons la réaction des maisons de courtage aux exigences réglementaires relatives aux fonds propres, aux positions et aux liquidités, comme celles du dispositif de Bâle III. Nous montrons que si les prix des actifs sont davantage touchés, les écarts entre les cours acheteur-vendeur ne changent pas et les volumes des opérations peuvent même augmenter.