Les banques réalisent-elles des pertes simultanées sur leurs activités de négociation parce qu’elles investissent dans les mêmes actifs ou parce que les divers actifs dans lesquels elles investissent sont soumis aux mêmes chocs macroéconomiques? Dans la présente étude, je décompose les covariations des pertes des banques en deux canaux orthogonaux : les chevauchements de portefeuilles et les chocs communs.