Malgré la multitude de travaux empiriques consacrés à l’incidence de l’intégration financière sur l’économie, il reste difficile de confirmer les gains de bien-être considérables censés provenir du partage du risque de consommation. Tout en gardant l’approche multipays d’autres recherches, cette étude rend en outre explicitement compte de l’hétérogénéité des ménages et assouplit ainsi trois hypothèses restrictives habituellement retenues.