Modèles économiques
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Potential output and the neutral rate in Canada: 2023 assessment
Nous prévoyons un rebond de la croissance de la production potentielle, qui devrait passer de 1,4 % en 2022 à 2,2 % en moyenne entre 2023 et 2026. Nous avons revu à la baisse nos estimations de la croissance pour la période 2022-2025 par rapport à l’évaluation d’avril 2022. Le taux nominal neutre au Canada reste inchangé et se situe dans une fourchette allant de 2 à 3 %. -
The Impact of Unemployment Insurance and Unsecured Credit on Business Cycles
Cette étude porte sur la façon dont le crédit à la consommation non garanti influence la capacité des politiques d’assurance-emploi à lisser les fluctuations de la consommation globale au cours du cycle économique. Les résultats obtenus à partir d’un modèle d’équilibre général simulant un cycle économique réel montrent que le crédit non garanti amplifie l’effet de lissage de l’assurance-emploi sur les fluctuations cycliques de la consommation. -
The Canadian Neutral Rate of Interest through the Lens of an Overlapping-Generations Model
Nous utilisons un modèle de petite économie ouverte à générations imbriquées pour évaluer la dynamique à long terme du taux d’intérêt neutre au Canada de 1980 à 2018. Nous constatons que les variations des facteurs tant étrangers qu’intérieurs ont entraîné une diminution prolongée de ce taux. -
Learning in a Complex World: Insights from an OLG Lab Experiment
Dans cette étude, nous apportons un nouvel éclairage sur la coordination de groupes et la dynamique des prix dans des environnements complexes. Nous exécutons en laboratoire un modèle à générations imbriquées et parvenons à la conclusion que la coordination de groupes se produit soit dans un état stationnaire, soit dans un cycle de deux périodes, et que cette dynamique est non monotone. -
Gazing at r-star: A Hysteresis Perspective
Bon nombre des raisons avancées pour expliquer le recul des taux d’intérêt lors des 30 dernières années soulignent le rôle joué par le vieillissement de la population ou la montée des inégalités de revenu dans la croissance de la demande agrégée d’actifs sur le long terme. Sans nier l’importance de ces facteurs, cette étude montre tout d’abord que le principal changement à l’origine d’une hausse de la demande d’actifs au cours de cette période a plutôt été le désir accru des ménages (selon leur classe d’âge et catégorie de revenu) d’acquérir des actifs.
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