La COVID-19 s’est répercutée sur les marchés obligataires en trois phases. D’abord, les courtiers ont fait face à une demande de liquidité accrue. Ensuite, ces derniers ont réduit l’offre de liquidité, et les conditions de négociation se sont considérablement détériorées. Enfin, les marchés sont redevenus relativement stables après plusieurs interventions de la Banque du Canada.