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Frictional Capital Reallocation I: Ex Ante Heterogeneity
Dans cette étude, nous analysons des modèles dynamiques d’équilibre général où les entreprises font des opérations en capital sur des marchés soumis à des frictions. Les gains liés à ces opérations tiennent à l’hétérogénéité ex ante : certaines entreprises ont de meilleures stratégies d’investissement et accumulent des capitaux sur le marché primaire, tandis que d’autres le font sur le marché secondaire. -
Can Capital Deepening Explain the Global Decline in Labor’s Share?
Nous estimons une élasticité de substitution agrégée entre le capital et le travail qui est près de ou inférieure à l’unité, ce qui signifie que l’intensification du capital ne peut pas expliquer la baisse de la part du revenu attribuable au travail observée à l’échelle mondiale. Notre méthode provient des sentiers de transition du modèle de croissance néoclassique. -
The Productivity Slowdown in Canada: An ICT Phenomenon?
Nous cherchons à déterminer si une baisse de la contribution des technologies de l’information et des communications (TIC) à la croissance de la productivité pourrait expliquer le ralentissement de la productivité observé au Canada depuis le début des années 2000. À cette fin, nous examinons plusieurs méthodes visant à cerner les canaux par lesquels les TIC pourraient avoir une incidence sur l’accroissement de la productivité globale. -
A Framework for Analyzing Monetary Policy in an Economy with E-money
Dans cette étude, nous analysons une économie où la monnaie fiduciaire émise par la banque centrale est en concurrence avec la monnaie électronique émise par une entité privée. Nous étudions les issues d’un jeu dans lequel la banque centrale et l’émetteur de monnaie électronique établissent leur propre politique et faisons une série de constats. 1) La politique monétaire optimale de la banque centrale dépend de la politique de l’émetteur privé et peut s’écarter de la règle de Friedman. 2) Il pourrait exister des équilibres multiples. 3) Lorsque l’économie fonctionne presque sans numéraire, la politique optimale de la banque centrale accroît le pouvoir de marché de l’émetteur de monnaie électronique et peut entraîner un léger recul du bien-être ainsi qu’une hausse minime de l’inflation. 4) L’optimum de premier rang ne peut être atteint. -
The Secular Decline of Forecasted Interest Rates
Au Canada, les taux d’intérêt affichent une diminution séculaire depuis les années 1980. Les prévisions à long terme des taux tirées d’enquêtes ont également baissé, mais pas autant et plus graduellement. Nos estimations issues du modèle montrent une évolution de la prévision finale en trois phases : baisse entre 1990 et 1995, période de stabilité de 1996 à 2007 et nouvelle contraction depuis 2008. La valeur estimée actuelle du taux final demeure teintée d’incertitude et la question fait toujours l’objet de recherches actives. -
10 janvier 2019
La Banque du Canada publie les principes pour l’amélioration des clauses définissant les solutions de rechange du Groupe de travail sur le taux de référence complémentaire pour le marché canadien
Aujourd’hui, la Banque du Canada a publié les principes du Groupe de travail sur le taux de référence complémentaire pour le marché canadien (TARCOM) visant à améliorer les clauses définissant les solutions de rechange pour les produits au comptant. -
9 janvier 2019
Rapport sur la politique monétaire – Déclaration préliminaire à la conférence de presse
Le gouverneur, Stephen S. Poloz, traite des principaux enjeux liés aux délibérations du Conseil de direction entourant la décision relative au taux directeur et le Rapport sur la politique monétaire. -
9 janvier 2019
La Banque du Canada laisse inchangé le taux cible du financement à un jour à 1¾ %
La Banque du Canada a annoncé aujourd’hui qu’elle maintient le taux cible du financement à un jour à 1¾ %. Le taux officiel d’escompte demeure donc à 2 %, et le taux de rémunération des dépôts, à 1½ %. -
9 janvier 2019
Rapport sur la politique monétaire – Janvier 2019
La Banque prévoit que la croissance de l’économie canadienne ralentira pour s’établir à 1,7 % cette année, avant de rebondir à 2,1 % en 2020.
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