Nous montrons que les nouvelles macroéconomiques expliquent une bonne part des mouvements trimestriels des rendements des obligations du gouvernement canadien, alors que leurs mouvements quotidiens tiennent principalement à d’autres facteurs. Nous montrons, en outre, que ce sont les nouvelles économiques américaines, et non pas canadiennes, qui expliquent l’essentiel des variations trimestrielles des rendements obligataires canadiens.