Les auteurs examinent l’incidence de la concurrence sur le marché des produits, et de la gouvernance d’entreprise sur le coût du financement par emprunt d’une part, et sur l’inclusion de clauses restrictives dans les contrats obligataires d’autre part. Ils constatent que l’existence de défenses anti-offre publique d’achat (OPA) en nombre accru est associée à un coût d’emprunt inférieur, mais seulement dans les secteurs où la concurrence est vive.