E44 - Marchés financiers et macroéconomie
-
-
Consumption, Housing Collateral, and the Canadian Business Cycle
À l'aide de techniques bayésiennes, les auteurs estiment le modèle d'une petite économie ouverte au sein de laquelle le pouvoir d'emprunt des consommateurs est limité par la valeur de leur patrimoine immobilier. L'étude vise à quantifier le rôle joué par les emprunts des ménages adossés à des actifs réels dans le cycle économique au Canada. -
Credit Constraints and Consumer Spending
L'étude porte sur la relation entre les dépenses de consommation globales et la disponibilité du crédit aux États-Unis. L'auteure constate que les dépenses de consommation diminuent (augmentent) lorsque la disponibilité du crédit décroît (s'accroît). -
A Financial Conditions Index for the United States
La crise financière de 2007-2009 a mis en lumière l'importance du lien entre les facteurs financiers et l'activité économique réelle. Afin d'estimer l'incidence des chocs financiers présents et passés sur l'évolution de la croissance du produit intérieur brut (PIB) américain, les auteurs construisent deux indices mesurant la contribution des conditions financières à la croissance trimestrielle (en chiffres annuels) du PIB. -
Real Effects of Price Stability with Endogenous Nominal Indexation
Les auteurs étudient un modèle qui se caractérise par un aléa moral répété du fait que le retard avec lequel les prix nominaux sont observés (hypothèse adoptée par Jovanovic et Ueda, 1997) empêche la pleine indexation des contrats financiers. -
Heterogeneous Beliefs and Housing-Market Boom-Bust Cycles in a Small Open Economy
L'auteur présente un modèle de petite économie ouverte pour le Canada dans lequel les croyances des ménages sont hétérogènes. Selon le modèle, des cycles simultanés d'envolée et d'effondrement des prix de l'immobilier résidentiel, de la production, de l'investissement, de la consommation et du nombre d'heures travaillées pourraient émerger si les emprunteurs hypothécaires ayant un accès limité au crédit s'attendent à une hausse des prix des maisons mais que ces attentes ne sont pas partagées par les épargnants et sont déçues par la suite.