L'auteure teste empiriquement deux aspects de l'interaction entre les investissements en stocks et les variables financières, à savoir le comportement de ceux-ci en présence, d'une part, de flux de trésorerie négatifs et, d'autre part, de contraintes de financement dues à une asymétrie d'information entre emprunteur et prêteur.
À l'aide d'un nouveau modèle keynésien hybride, Jensen (2002) et Walsh (2003) montrent, dans deux études récentes, qu'un régime prenant pour cible soit le taux de croissance du revenu nominal soit la variation de l'écart de production permet de reproduire la solution obtenue avec une règle d'engagement et de réduire ainsi le biais de stabilisation.
Les auteurs se servent d'un modèle dynamique d'équilibre général décrivant une petite économie ouverte pour calculer les coefficients de la règle de Taylor qui maximisent le bien-être.
Les auteurs examinent les résultats de Galí et Gertler (1999) et de Galí, Gertler et Lopez-Salido (2001 et 2003) selon lesquels la dynamique de l'inflation aux États-Unis est correctement décrite par la nouvelle courbe de Phillips keynésienne.
Pour la période allant de 1982 à 2002, les auteurs appliquent à six banques canadiennes inscrites en bourse le modèle d'évaluation des actifs proposé par Rabinovitch (1989).
Document de travail du personnel 2004-33John Chant
La contrefaçon constitue un problème majeur pour les pouvoirs publics parce que, en dépit des bruits courant sur sa disparition éventuelle, le papier-monnaie demeure une composante importante de notre système de paiement.
Les modèles basés sur l'apprentissage social dans les décisions d'investissement expliquent de manière intéressante les changements brusques observés dans le comportement des investisseurs.
Document de travail du personnel 2004-31David Dupuis
La prévision de l'inflation est fondamentale pour la politique monétaire. Dans la pratique, toutefois, les économistes doivent s'efforcer de concilier deux objectifs : l'exactitude et la rigueur théorique.
Les auteurs procèdent à une simulation contrefactuelle de l'incidence des règles proposées par le Nouvel accord de Bâle sur les fonds propres (Bâle II), et notamment des modifications que le Comité de Bâle a soumises en octobre 2003 pour le traitement des pertes anticipées et inattendues.