Postulant deux formulations différentes de la courbe de Phillips au Canada (l'une purement rétrospective et l'autre reposant sur des composantes rétrospective et prospective), les auteures cherchent à déceler la présence de ruptures structurelles dans les paramètres de l'équation. Dans les deux cas, elles tiennent comptent des possibilités que : i) celles-ci soient de type discret ou continu; ii) les échantillons disponibles soient trop petits pour justifier l'utilisation de tests de rupture structurelle valables asymptotiquement.