19 novembre 1998
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19 novembre 1998
Déclaration préliminaire devant le Comité sénatorial permanent des banques et du commerce
Monsieur le Président, Nous sommes toujours heureux, mes collègues et moi, des occasions qui nous sont offertes de nous présenter devant votre comité. Nous avons publié lundi la dernière livraison de notre Rapport sur la politique monétaire. Celui-ci traite d’un large éventail de questions d’ordre économique et monétaire et fournit un compte rendu des mesures […] -
18 novembre 1998
Le taux officiel d'escompte est abaissé de 1/4 de point de pourcentage et ramené à 5 1/4 %
La Banque du Canada a abaissé aujourdhui de 1/4 de point de pourcentage le taux officiel d'escompte pour l'établir à 5 1/4 %. -
17 novembre 1998
Déclaration préliminaire devant le Comité permanent des finances de la Chambre des communes
Monsieur le Président, Nous sommes heureux, mes collègues et moi, de l’occasion qui nous est offerte de nous présenter devant votre comité après la publication de chaque livraison du Rapport sur la politique monétaire. Comme vous le savez, nous avons fait paraître hier notre dernier rapport. Celui-ci traite d’un large éventail de questions d’ordre économique […] -
16 novembre 1998
Rapport sur la politique monétaire – Novembre 1998
Au cours des six derniers mois, l’incertitude planant sur l’économie mondiale s’est intensifiée, en grande partie à cause de l’évolution observée dans les économies à marché émergent. -
16 novembre 1998
Publication du Rapport sur la politique monétaire
Ce matin, nous avons publié la huitième livraison du Rapport sur la politique monétaire. La période écoulée depuis la parution du dernier rapport a assurément été mouvementée du point de vue de la politique monétaire. Au cours des six derniers mois, l'incertitude planant sur l'économie mondiale s'est intensifiée, surtout à la suite de la décision […] -
16 novembre 1998
Observations du gouverneur de la Banque du Canada à l'occasion de la parution du Rapport sur la politique monétaire
Le gouverneur de la Banque du Canada, M. Gordon Thiessen, a formulé quelques observations aujourd'hui à l'occasion de la publication du Rapport sur la politique monétaire de novembre 1998. -
15 novembre 1998
Les avantages et les coûts d'une réduction de l'inflation
Le gouvernement fédéral et la Banque du Canada se sont engagés depuis un certain temps déjà à réaliser et à maintenir la stabilité des prix dans le but de favoriser l'amélioration du niveau de vie de tous les Canadiens. Afin d'appuyer cet objectif, la période d'application de la fourchette cible de maîtrise de l'inflation de 1 à 3 % a été prolongée récemment jusqu'à la fin de 2001. D'ici là, le gouvernement et la Banque comptent annoncer une cible à long terme pour la politique monétaire. Dans cet article, les auteurs passent en revue les plus récents travaux empiriques consacrés aux avantages d'une réduction de l'inflation. Ils s'appuient sur une étude exhaustive de ces travaux qui a été faite précédemment et s'inspirent également des documents préparés pour deux colloques sur la stabilité des prix tenus récemment par la Banque du Canada. L'une des conclusions des deux auteurs est que les avantages d'une réduction de l'inflation s'avèrent importants quand on tient compte expressément de l'interaction de l'inflation et du régime fiscal. En outre, ces avantages demeurent nettement supérieurs aux coûts transitoires qu'entraîne la réduction de l'inflation. Toutefois, les auteurs de l'article font remarquer qu'en raison de la prolongation jusqu'à la fin de 2001 de l'application des cibles de maîtrise de l'inflation, le contexte se prête bien à la réalisation de nouvelles recherches visant à fournir une définition pratique de la stabilité des prix qui aidera les Canadiens à atteindre un niveau de vie élevé. -
15 novembre 1998
Revue de la Banque du Canada - Automne 1998
Page couverture
Pièce ottomane de cinq qurushs
La pièce d'argent de cinq qurushs a à peu près la même dimension qu'une pièce canadienne de vingt-cinq cents. Elle fait partie de la Collection nationale de monnaies de la Banque du Canada.
Photographie : James Zagon.
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14 novembre 1998
Les crises de change et les régimes de change fixe depuis le début des années 1990
Les crises de change des années 1990, notamment celles qui ont frappé les marchés émergents, ont profondément perturbé l'activité économique non seulement dans le pays touché, mais aussi dans les pays avec lesquels ce dernier a des liens de nature commerciale, financière ou géographique. Les auteurs de l'article font un survol des études théoriques et empiriques qui ont été réalisées sur le sujet. Ils concluent que les crises de change sont principalement attribuables à un taux de change nominal fixe conjugué à des déséquilibres macroéconomiques — tels que des déficits des transactions courantes ou des déficits budgétaires — perçus par les marchés comme insoutenables au taux de change réel en vigueur. Ils concluent également que les pays peuvent prévenir les crises de change en adoptant de saines politiques monétaires et budgétaires, des mécanismes efficaces de réglementation et de surveillance du secteur financier ainsi qu'un taux de change nominal plus flexible.