20 novembre 1997
Publications
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14 novembre 1997
L'Union économique et monétaire européenne : Généralités et implications
L'Union européenne, qui se compose actuellement de 15 États, occupe une place importante parmi les économies avancées. La phase finale de l'Union économique et monétaire (UEM) européenne devrait s'amorcer en janvier 1999 avec l'adoption d'une monnaie unique, l'euro. Une décision relative aux pays qui se joindront à la zone euro en 1999 sera prise au printemps 1998, en fonction notamment de la réalisation des critères économiques exposés dans le Traité de Maastricht. Après avoir tracé la genèse des événements, les auteurs de l'article traitent des aspects institutionnels de l'UEM, de la formulation et de la mise en oeuvre de la politique économique au sein de la structure à venir ainsi que des effets que le parachèvement de l'UEM aura en Europe et à l'étranger. Pour le Canada, les implications directes du passage à l'euro semblent relativement modestes, du moins à court terme. -
14 novembre 1997
Revue de la Banque du Canada - Automne 1997
Page couverture
Les Puffin de Lundy
La pièce fait partie de la Collection nationale de monnaies de la Banque du Canada.
Photographie : James Zagon.
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13 novembre 1997
Mesures statistiques du taux d'inflation tendanciel
La plupart des banques centrales utilisent comme guide dans la conduite de leur politique monétaire un indice de l'inflation tendancielle semblable à celui de la Banque du Canada, l'IPC hors aliments, énergie et effet des impôts indirects. Quelques-unes d'entre elles publient régulièrement, en plus de leur indice de référence, quelques mesures statistiques du taux d'inflation tendanciel. Ces mesures ont été établies à partir d'une méthode fondée sur l'hypothèse que les variations extrêmes de prix traduisent généralement les chocs temporaires que subit le taux d'inflation et non sa tendance fondamentale. Dans cet article, l'auteure reprend les grandes lignes des travaux sur la mesure de l'inflation tendancielle qui ont été publiés par la Banque du Canada et expose les résultats des travaux plus récents réalisés sur le sujet. Elle y consacre une attention particulière à deux mesures statistiques que la Banque va suivre de plus près que les autres, soit l'IPCX, un indice de prix dont on a exclu huit des composantes les plus volatiles et qu'on a corrigé de l'incidence des impôts indirects, et l'IPCP, une mesure qui conserve toutes les composantes de l'indice global mais accorde moins de poids aux plus volatiles. -
12 novembre 1997
Les systèmes de compensation et de règlement et la Banque du Canada
Les systèmes de compensation et de règlement sont indispensables au bon fonctionnement d'une économie de marché moderne comme celle du Canada. Au cours de la dernière décennie, le Canada et divers pays étrangers se sont employés à améliorer les systèmes électroniques de compensation et de règlement qui traitent les obligations de paiement, soit individuellement soit conjointement avec des opérations liées à l'achat et à la vente d'une foule d'instruments financiers tels que titres de dette, actions, devises ou produits dérivés. L'article passe en revue certains des risques que ces systèmes posent aux participants et aux utilisateurs finals et examine le rôle de la Banque du Canada à l'égard de ces systèmes. Depuis un certain nombre d'années, la Banque participe de façon informelle à la mise au point de grands systèmes de compensation et de règlement pour être sûre que le risque systémique est géré de façon appropriée. Promulguée en juillet 1996, la Loi sur la compensation et le règlement des paiements officialisait le rôle de la Banque en matière de surveillance des systèmes de compensation et de règlement aux fins de maîtrise du risque systémique. L'article décrit les responsabilités de la Banque à ce chapitre, ainsi qu'un certain nombre de nouveaux pouvoirs dont elle a été investie par la Loi et qu'elle pourrait exercer à l'égard des systèmes de compensation et de règlement.